Hey hey,
Concernant le le tableau, j'opte pour le tableau 3 par Marine
De l'arrivée des joggeurs p 71 "Rosenzweig en pleine forme" à la p 74 Shratzia :"Nous sortons du même endroit [...] facilité" où se déroule, de mon point de vue, le "concours de cruauté" le plus glaciale qui puisse exister.
Mon hypothèse en réponse à la proposition d'Eliane sur le tableau 1 :
La mère meurt différemment des autres, dans un soupir, dans une quête d'amour inaccomplie.
Peut être considère t-elle l'amour de son fils comme acquis. De ce fait, elle le met naturellement de côté avec des reflexions comme : "Comme s'il était de ceux qui comptent dans un enterrement" phrase amère certes, mais peut être pas tournée directement contre Latshek mais plus contre le manque d'amour des autres qui SE DOIVENT d'être présent.
Si la famille avait vraiment été soudée à la base par l'amour et le lien affectif, alors le mariage et la commande de poulets et etc aurait pu être décalée. Etant tous en contact les uns les autres, ils auraient pu faire en fonction de l'état d'Alté si on part du principe qu'un état ne s'aggrave pas du jour au lendemain.
Alté et Latshek sont restés seuls entre mère et fils : "Que de longues soirées avons nous passés, elle et moi, en tête à tête, à la maison, nous consumant d'ennui, sans personne, sans joie de vivre, sans joie tout court!" p.94
Finalement le tableau 1 n'est-il pas en effet plus doux, plus triste et plus "réaliste" que les autres tableaux. Partir d'une réalité calme au chevet ou le dramatique se chuchote totalement dans l'émotionnel pour aller progressivement dans la folie de la course des objectifs de chacun?
Enfin, j'avais fais une recherche sur les jeûnes dans la religion et je suis tombé sur un site qui présentait les prophètes de chaque religion et donc nous avons : Moïse, Jesus, Mohammed ET Gandhi qui jeûne en toute humilité pour libérer son peuple afin d'obtenir justice et paix. Peut être le représenter sur scène.
Bises bises
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